Les forces dites du consensus démocratique composées d’OSC, de partis politiques, de candidats déclarés, de citoyens de la diaspora et de citoyens sans étiquette, face à la presse ce mercredi 15 janvier 2020, se sont prononcés sur le srcutin présidentiel du 22 février prochain.
Pour les responsables de ce regroupement informel, le processus électoral en cours est non seulement un processus électoral vicié, mais aussi caractérisé par des distorsions juridiques gravissimes et tout ceci sous le règne de l’illégalité et de l’impunité. Et donc pour ces derniers, « l’histoire semble se répéter ».
A en croire les responsables de ce mouvement, il est clair que, la Cour constitutionnelle n’est conforme ni à la constitution, ni à la loi organique. Le processus électoral en cours est donc profondément vicié et les modifications de 26 articles de la Constitution du 14 octobre 1992 sont anticonstitutionnelles.
Les forces dites du consensus démocratique exhortent à cet effet, les togolais de tout bord, à se préparer pour de grandes manifestations populaires en vue de mettre fin à l’inacceptable.
Manifestations
et puis… que Dieu nous protège
Les hommes politiques togolais doivent désormais laisser libres les populations.