L’affaire de litige foncier à Aflao Lankouvi Avoémé dans le canton d’Aflao Sagbado est entrain de prendre une autre tournure. Le deuxième adjoint au maire de la commune Golfe 7, Agboyibo Komlanvi cité dans cette affaire dément formellement les accusations portées contre sa personne. Après une rencontre tenue ce mercredi 15 juillet 2020 avec les deux parties impliquées dans cette affaire, les responsables de la commune Golfe7 ont donné leur version des faits.
Selon les informations données à la presse, il y a de cela deux mois que la mairie Golfe 7 a été saisie par le sieur Joie Gnadjiélé, sur le fait que sa parcelle de terre située à Lankouvi Avoémé est entrain d’être occupée illégalement par la responsable de la fondation Mother Charity. Une fois saisie, M. Agboyibo Komlanvi a été mandatée par le Maire de la Commune pour écouter les deux parties afin qu’une solution durable soit trouvée. C’est dans cette logique que le 25 juin 2020, le chef du service technique de la commune Golfe7 accompagné d’un de ses collègues se sont rendus sur les lieux pour vérifier les faits tels que racontés par le sieur Gnadjiélé. Mais une fois sur les lieux, les agents de la commune Golfe7 sont tombés sur le plaignant NGnadjiélé et ses collaborateurs mais malheureusement les vigiles de l’orphelinat Mother Charity ont refusé l’accès sur le terrain, aux émissaires de la mairie.
Ce qui rend furieux le Maire Aimé Koffi Djikounou et ses acolytes, c’est la sortie médiatique orchestrée par dame VODJOGBÉ qui a tenu des propos désobligeants, jetant ainsi du discrédit sur la Mairie.
La mairie Golfe 7 ne dispose pas de gros bras et ne saurait cautionner une telle pratique. Les propos de Madame Yawoavi Charity VODJOGBÉ selon lesquels la mairie Golfe7 aurait envoyé des gros bras brutaliser les orphelins du centre Mother Charity et relayé par la presse sont diffamatoires et n’ont aucun fondement. Le deuxième adjoint au maire Agboyibo Komlanvi n’a jamais agit de son propre chef. Madame Yawoavi Charity VODJOGBÉ a été rappelée à l’ordre et il lui a été demandé d’organiser une autre conférence de presse pour démentir ses propres propos.