Dans une décision rendue publique jeudi, la cour d’appel de Londres a récusé irrévocablement, la requête d’appel de l’ONG pro-séparatistes ‘’WSC’’ contre une précédente décision de la Cour administrative, rejetant sa demande qui tentait de remettre en cause l’accord d’association liant le Maroc au Royaume-Uni.
Ceci est le troisième revers des ennemis du Maroc depuis décembre 2022. Cette décision vient de confirmer l’intégrité territoriale du Maroc et valide l’accord d’association liant les deux pays et qui bénéficie aux populations et au développement de toutes les régions du Royaume, du nord au sud.
Plusieurs analystes marocains et britanniques s’accordent sur le fait que cette décision de la justice dévoile les multiples revers de la véritable partie prenante instigatrice du conflit autour du Sahara marocain. Cette dernière s’évertue à persuader la justice britannique de réexaminer l’accord commercial post-Brexit conclu et soutenu par les deux Royaumes, mais connaît bien des échecs.
Envers et contre tout, les échanges commerciaux entre les deux pays prospèrent depuis la conclusion de l’accord, les flux bilatéraux ayant culminé à 2,9 milliards de livres sterling au 3e trimestre 2022, en hausse d’un milliard de livres sterling par rapport à la même période de l’année précédente.
L’Accord d’association entre le Maroc et le Royaume-Uni, signé à Londres le 26 octobre 2019, est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2021. Cet accord restitue, dans le contexte des relations entre les deux pays, l’ensemble des effets qu’ils s’accordaient, mutuellement, dans le cadre de l’Accord d’association Maroc-UE. Ainsi, les échanges entre le Maroc et le Royaume-Uni continent après le 31 décembre 2020.
Ceci permet aux deux Royaumes de s’assurer sur le long terme, un partenariat structuré, doté d’instruments de coopération opérationnels et institutionnalisés, et porté par une ambition commune. L’Accord tient lieu d’une garantie aux entreprises marocaines et britanniques qui entreprennent des relations économiques et commerciales dans tous les secteurs de leur commune coopération.
Le ″polisario″ et ses relais se prennent les pieds dans les gazons pour une 3ème fois de suite, par le fait de cette décision :
La présente Décision de la Cour d’appel britannique, rendue le 25 mai 2023, refusant d’interjeter appel contre l’Arrêt de la Cour administrative de Londres.
La décision rendue en 1ère instance par la High Court britannique, le 05 décembre 2022, rejetant les demandes de la WSCUK contre l’Accord d’Association Maroc-UK ; et
La décision rendue par la High Court de la Nouvelle Zélande, le 15 mars 2021, de refus de se prononcer sur la demande de procédure d’examen judiciaire, engagée par le ″polisario″ et le représentant de ″Western Sahara Compaign, New Zealand″ contre le ″New ZealandSuperfund″.
Cette décision de la High Court britannique :
Conforte l’Accord d’Association Maroc-UK puisque le juge britannique a confirmé en décembre dernier, que les Accords entre le Royaume du Maroc et le Royaume-Uni sont parfaitement conformes au Droit International.
L’arrêt confirme alors la vérité et conforte le Maroc dans son bon droit. Le tribunal consacre le caractère légitime de l’action du Royaume dans ses provinces du sud et la conformité de son exploitation des ressources naturelles à la légalité internationale.
Le Maroc se satisfait du jugement du Tribunal qui reconnaît que le « polisario » n’a pas son mot à dire à propos du développement économique des provinces du Sud. Les relations commerciales entre le Maroc et le Royaume Uni n’engagent que ces deux parties.
Par ce jugement, le « polisario » est astreint à un ravalement de ses frustrations, ne pouvant prétendre non plus représenter la population du Sahara.