Les actions salutaires du Royaume de Maroc se multiplient à travers le monde. Ce vendredi 24 février 2023, à Paris, le Groupe d’Action Financière (GAFI), réuni dans le cadre de son Assemblée générale, a de sortir le Maroc de la zone grise. Une décision qui approuve une fois de plus, les efforts du Maroc dans la gestion efficace et efficiente des affaires.
Cette nouvelle décision du GAFI consacre ainsi la position de leadership régional et continental du Maroc en matière de bonne gouvernance financière et positionne le Royaume en tant que modèle en la matière.
Il s’agit en effet, d’un sanglant camouflé à ceux qui s’activent au sein Parlement Européen contre le Maroc et ses intérêts, ainsi qu’à tous ceux qui refusent d’accepter que le Maroc avance d’un pas ferme et décidé dans sa marche irréversible vers le progrès, la transparence et la bonne gouvernance, qui le distingue dans un voisinage empêtré dans un archaïsme d’un autre temps.
Cette consécration du Royaume par une instance financière internationale de référence, vient apporter en outre, une réponse cinglante à ces détracteurs qui tentent sans succès de coller au Maroc l’étiquette d’un état voyou.
Le Maroc sort ainsi de la Zone de surveillance, dite liste grise, au moment même où l’Afrique du Sud, soutien de l’entité terroriste et séparatiste du polisario y fait son entrée. Ce qui est très significative à plus d’un titre et vient couronner les efforts et actions privatives du Royaume en application des Hautes Directives Royales.
Encore une fois, une instance internationale de référence consacre le Maroc dans sa vision stratégique, sereine et volontariste d’adopter les standards les plus élevés en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, et le financement du terrorisme.
La consécration du Maroc par le GAFI en plein cœur de Paris constitue ironiquement une riposte éloquente à ceux parmi les médias français qui ont fait Maroc bashing une ligne de conduite éditoriale, au service de desseins occultes d’une autre époque.
La décision du GAFI renforcera ainsi l’image et la position du Royaume dans les négociations avec les institutions financières internationales, ainsi que la confiance des investisseurs étrangers dans l’économie nationale.