Dans son programme marquant les 4 années de son existence, le Mouvement des femmes Unir (MFU) s’est souvenu des enfants de l’orphelinat pouponnière de la Divine Providence d’Abalocondji à Aného. Ce samedi 04 décembre, les pensionnaires de centre ont reçu la visite de l’honorable Raymonde Kayi Lawson, Déléguée nationale du MFU et sa suite.
C’est avec des chants de joie que la délégation a été accueillie avant d’adresser à ces enfants vulnérables, le message de soutient du Président Faure Essozimna Gnassingbé et de remettre des cadeaux aux enfants et aux responsables desdits centres.
Les dons sont composés de sacs de riz, de cartons de spaghetti, de macaronis, de tomates, d’huiles, de sardines, de savons, de masques, de biscuits, de jouets et d’enveloppes financières.
« Nous avons choisi de venir à Aného aujourd’hui parce c’est une ville très emblématique de l’histoire du Togo et nous ne pouvions terminer notre périple sans passer par ici. Nous avons commencé par la prison civile de Lomé et aujourd’hui nous sommes avec ces tout-petits. Les fêtes de Noël s’approchent et il faut permettre à ces enfants de fêter dans les mêmes conditions que ceux qui sont en famille avec leurs parents. L’orphelinat Divine Providence est un orphelinat que nous avons l’habitude de visiter à chaque fois que nous en avons l’occasion« , a déclaré la déléguée nationale du MFU.
L’orphelinat Divine Providence d’Abalocondji a été créé en 1998 par sœur Victoire Agbo. À ce jour 53 orphelins y sont pris en charge.
« Nous remercions le Mouvement des femmes Unir qui a pensé aux enfants en cette fin d’année. Nous les remercions beaucoup. C’est une joie pour nous et vous avez vu les enfants sont si joyeux. Nous rendons grâce à Dieu pour ces vaillantes femmes qui pensent toujours à leur prochain. Que Dieu leur donne une bonne santé pour revenir encore nous donner. Les temps sont durs pour tout le monde mais elles se sont débrouillées pour nous trouver de quoi fêter« , a indiqué sœur Victoire Agbo, directrice de l’orphelinat pouponnière Divine Providence d’Abalocondji.
