La jeunesse de la femme est assez très courte mais rares sont celles qui s’en rendent compte lorsqu’elles font la belle vie.
Certaines femmes prennent tout leur temps à choisir l’homme idéal et elles oublient que leur âge avance. C’est le cas de Hortense, commerçante à Lomé. Elle nous a ouvert son cœur, lisez…
Bonjour Madame, Présentez vous?
Je suis Hortense S., 33ans commerçante à Lomé. J’ai fais un BTS en commerce, je vends des habits et chaussures pour femmes dans une boutique à Attiégou.
Vous êtes une belle femme mais vous vivez toujours seule.
Merci pour les compliments, ça me va droit au cœur. Lorsque je pense à ma situation quelques fois, cela me rend soucieuse. Je continue toujours de prier pour que Dieu change ma vie.
N’avez-vous pas quelque choses à vous reprocher ?
« `(Elle garde le silence au moins 1minute et répond).« `
Lorsque je regarde dans le rétroviseur, je me rends compte que mes comportements antérieurs ont fait que je suis toujours dans cette situation. J’ai pris tout le temps à chercher l’homme idéal et j’ai fini par comprendre que l’homme idéal n’existe pas. Beaucoup d’hommes ont proposé m’épouser lorsque j’avais déjà 26 ans mais je trouvais toujours des excuses. Soit il n’a pas de voiture, soit il n’est pas beau, ou il n’a pas d’argent….. Et voilà je demeure toujours célibataire à 33 ans, mes parents se plaignent surtout ma mère.
Que disent vos parents dans cette situation ?
Humm, ils ne sont pas contents de moi plus précisément ma maman. Elle souhaite me voir en couple et avoir un bébé. C’est le refrain de ma mère tous les jours.
Un message aux filles de Lomé.
Je leur dis simplement que le fait de changer les hommes n’est pas une meilleure vie. Avoir un Iphone derrière génération, manger les brochettes, prendre la bière sont les choses passagères. Mais être en couple et avoir des enfants est si merveilleux. Tous les hommes qui me draguaient par le passé sont tous mariés, même mes amies filles en majorité sont mariées. Ceux qui me draguent aujourd’hui sont des gens de 45 ans et 50 ans qui ont déjà des femmes.
Réalisée par Stéphane Afekson