Profitant de l’expérience d’un détachement de marins des Éléments Français du Sénégal, ces jeunes fusiliers togolais ont appris les techniques élémentaires d’intervention opérationnelle rapprochée, de progression en milieu clos, de montée à bord, et d’articulation sur le pont du navire visité.
Ce stage à peine achevé la Préfecture Maritime et la Marine Nationale Togolaise participaient au premier exercice NeMO de l’année 2019, souligne cette source.
Le patrouilleur togolais OTI a bénéficié d’un guidage sur cible par un avion de patrouille maritime français Falcon 50, venu expressément de Dakar.
Ce soutien aérien a prouvé l’efficacité du couple avion-patrouilleur pour optimiser les interventions en mer.
Le contrevenant, interprété par le Patrouilleur de Haute Mer Commandant Blaison, a glissé volontairement de nombreuses péripéties dans le scénario d’exercice pour tester l’équipe de visite togolaise sans toutefois parvenir à déjouer sa vigilance.
Ce genre d’exercices tombe à point nommé. En effet l’acte de piraterie perpétué le 02 janvier dernier dans les eaux béninoises rappelle, s’il fallait encore s’en convaincre, que la maitrise des eaux est capitale pour la sécurité maritime de tous.
source : Savoir News/ Service Presse et Communication de l’Ambassade de France